MÉCONTENT DE LA JUSTICE ?
Dans la procédure pénale française, le magistrat agit à charge et à décharge en collaboration avec les forces de l’ordre. Si vous êtes en désaccord avec la tournure de l’enquête, votre avocat n’a aucun moyen légal d’effectuer une contre-enquête. Il peut donc être utile de faire appel à un détective privé qui pourra agir de concert avec l’avocat pour apporter les éléments qui, selon vous, ont été ignorés par la justice. Une fois que le jugement est rendu et que tous les recours légaux ont été utilisés, le détective privé devient même votre seule solution. Il peut trouver de nouveaux éléments ou prouver qu’il y a eu de faux témoignages pour obtenir une reprise de l’enquête officielle (article 189 du Code de procédure pénal) si vous êtes une des victimes ou une révision de procès (article 622 du Code de procédure pénal) si vous êtes accusé à tort.
LE COUPABLE EST RELÂCHÉ
Le taux de non-lieu avoisine les 20%, tandis qu’il y a 12% d’acquittement en Appel aux Assises.
Dans le meilleur des cas, ces événements peuvent être perçus comme de dramatiques injustices, voir une trahison de l’Etat pour la victime et ses proches.
Selon les circonstances, la victime peut également vivre une grande insécurité lorsque celui qui était présumé coupable est de nouveau dans la nature et parfois dans la même ville.
A moins que le non-lieu ait été motivé en droit, il est toujours possible de rouvrir l’instruction en apportant des faits nouveaux ou en démontrant que certains témoignages étaient incohérents ou totalement faux. Le Cabinet Grand-Duc est habilité à effectuer une contre-enquête pour découvrir ces éléments.
ACCUSÉ À TORT
Selon le vieil adage juridique : « mieux vaut 10 coupables en liberté qu’un seul innocent en prison ».
Malgré toutes les précautions et les meilleurs volontés, une erreur judiciaire est toujours possible. C’est pour cela qu’il est possible pour l’accusé de demander un recours en révision si des faits nouveaux apparaissent après le jugement.
Toutefois, l’accusé est en détention et son avocat n’a pas le droit d’enquêter. Le cabinet Grand-Duc peut effectuer une contre-enquête pénale en reprenant l’intégralité du dossier pour y déceler des anomalies et effectuer des recherches complémentaires afin de discréditer un témoignage qui a été déterminant ou trouver des faits nouveaux.
Cette procédure a permis à plusieurs personnes finalement jugées innocentes de recouvrer la liberté : Christian Iacono, Abdelkader Azzimani et Abderrahim El-Jabri, Loïc Sécher, Patrick Dills, Guy Mauvillain, Jean-Marc Deveaux…